Poésie V, de Goerges Schéhadé (06/01/2011)
Si Jamais tu reviens en terre natale
A pas lents comme un cheval dont le soir accroît la fatigue
Oh va dans ce jardin
Retrouver la rose méconnaissable
Le chrysanthème à la crinière de lion
- D'immenses araignées volent avec des papillons
Comme dans les fièvres de l'enfance
Souris ou pleure mais ne crains rien
C'est l'ombre qui remue avant d'être nuit claire"
Poésies V, Gallimard (1972), Estampe d'Hokusai
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